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The Resi­dence revient sur les dessous de l’af­faire Lewinsky

Quand Hillary Clin­ton jetait des livres à la figure de Bill

jeudi 9 avril 2015

Dans un livre inti­tulé “The Resi­dence : Inside the Private World of The White House” (La rési­dence : dans le monde fermé de la Maison Blanche), la jour­na­liste Kate Ander­sen Brower dévoile de savou­reuses anec­dotes les alcôves de l’endroit le plus stra­té­gique de la planète : la Maison Blanche.

Le livre de Kate Ander­son Brower, ex-corres­pon­dante à la Maison-Blanche pour Bloom­berg News, fait couler beau­coup d’encre depuis sa publi­ca­tion de ses bonnes feuilles. Un chapitre retient plus parti­cu­liè­re­ment l’at­ten­tion des médias. Celui consa­cré à celle qui sera peut-être dans quelques mois élue Comman­der in Chief des Etats-Unis Hillary Clin­ton. Diffé­rentes sources (Kate a inter­viewé d’anciens fleu­ristes, major­domes ou femmes de chambre qui ont travaillé à la Maison Blanche) relatent en effet de l’in­té­rieur ce qui s’est passé après l’al­lo­cu­tion prési­den­tielle du 17 août 1998 où Bill Clin­ton, recon­nais­sait avoir eu une rela­tion inap­pro­priée avec Monica Lewinsky.

« L’atmo­sphère était digne d’une morgue, se souvient l’ancien fleu­riste Bob Scan­lan comme le rapporte l’agence La Presse cana­dienne qui s’est procu­rée les bonnes feuilles de The Resi­dence : Inside the Private World of The White House”. Un matin, une femme de chambre aurait décou­vert des traces de lutte dans les appar­te­ments privés du couple. Le sang qui tâchait le mobi­lier appar­te­nait à l’ancien président, qui a affirmé à l’époque s’être blessé en allant à la salle de bain au milieu de la nuit « mais personne ne l’a cru », peut-on lire dans le livre. « Nous sommes quasi­ment sûr qu’elle l’a frappé avec un livre », dit l’un des employés qui est resté anonyme. L’époux infi­dèle s’en est tiré avec quelques points de suture à la tête… ».

Il y a quelques jours, LCI.fr, nous appre­nait par ailleurs que le livre racon­tait aussi le dérou­le­ment du week-end précé­dant les aveux de Bill Clin­ton. “Hillary est entrée en contact avec une seule et même personne : Worthing­ton White, un huis­sier de la Maison-Blanche, expliquait le site de la chaîne d’in­for­ma­tion en continu. La First Lady, qui portait des lunettes de lecture rouges et n’était ni coif­fée ni maquillée, lui a demandé de l’accom­pa­gner à la piscine. Elle lui a fait comprendre qu’elle ne voulait voir abso­lu­ment personne. Si ce n’est lui. (…)Pendant trois heures et demi, Hillary est restée seule à lire au bord de la piscine. »Elle semblait avoir le cœur brisé", se souvient l’huis­sier. »Un éclai­rage nouveau donc sur l’un des scan­dales les plus reten­tis­sants de la vie poli­tique améri­caine.


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