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Valérie Trierweiler a gagné 60.000 € dans sa guerre contre Closer

mardi 16 septembre 2014

LES PEOPLE DE LENA - En cinq ans, l’ex-première dame a multiplié les procès. Pourtant, elle en raconte plus dans son livre que dans toute la presse.

Pour son retour de vacances ce mercredi matin, Laurence Pieau, la rédactrice en chef de Closer a eu de quoi être amusée. On ne parle que de Valérie Trierweiler et de son livre de 320 pages, Merci pour ce moment, où elle déballe sa vie privée.

Les hauts et les bas de sa passion avec le président de la République, rien ne nous est épargné. À en juger par les extraits les plus croustillants publiés dans Paris Match, Valérie Trierweiler a ni plus ni moins fait du Closer. Pourquoi pas ? Les opposants de François Hollande vont se régaler et quelques lectrices s’identifieront sans doute à l’ex-première dame. Mais il y a un léger bémol : Closer, c’est LE magazine people qu’elle attaque sans relâche depuis 2007 devant les tribunaux.

Du séjour avec François Hollande en Thaïlande aux photos volées de ses vacances entre copines à l’île Maurice au printemps, elle n’a jamais rien laissé passer. En 2007, le titre de Closer « Ségolène Royal : François l’a quitté pour elle ! » lui a rapporté 15.000 euros de dommages et intérêts. En 2008, 8000 euros pour « Ségolène Royal : François l’a vraiment rayé de sa vie. » En 2011, 2000 euros à peine. « Les vacances, c’est maintenant ! » en 2012 ? 1500 euros. De l’argent de poche.

Désormais, les juges y regarderont à deux fois avant d’arrondir sa cagnotte

Depuis sa répudiation, l’addition remonte. « Au soleil, elle prépare sa revanche… » a dû largement lui payer ses vacances : 12.000 euros. Le dernier procès : « Hani, l’amour secret de Valérie. Ils se connaissent depuis 5 mois ! » lui a rapporté 7.000 euros. Au total, en cinq ans, Valérie Trierweiler a donc touché 58.500 euros de dommages et intérêts de la part de Closer. Une somme qui n’est pas imposable et à laquelle il faut ajouter les dommages et intérêts versés par les autres magazines people. Désormais, les juges y regarderont à deux fois avant d’arrondir sa cagnotte.


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