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Valérie Trierweiler droguée par François Hollande : les Anglais choqués

samedi 22 novembre 2014

Valérie Trierweiler a accepté de se confier lors d’une interview accordée au Times. L’ancienne compagne de François Hollande a évoqué son hospitalisation en janvier dernier et elle a une nouvelle fois parlé de la forte dose tranquillisants qui lui a été prescrite à ce moment-là.

A l’occasion de la sortie de son livre, Merci pour ce moment, outre-Manche, Valérie Trierweiler a accepté de se livrer le temps d’un entretien accordé au Times. En Une du magazine, l’ancienne compagne de François Hollande apparaît un doigt sur la bouche tandis que l’article est titré : "Une femme dédaignée est pire que l’enfer". Lors de son interview, Valérie Trierweiler, qui n’a pas fait de tournée de promotion de son livre en France mais a accordé plusieurs interviews en Angleterre, se livre et n’hésite pas à évoquer la découverte de la liaison de François Hollande avec Julie Gayet et son hospitalisation en janvier dernier. L’ex première dame de France revient également sur la "dose astronomique de tranquillisants" qui lui a été administrée à ce moment-là, comme elle l’explique dans son livre. Valérie Trierweiler déclare ainsi que François Hollande aurait demandé aux médecins qui s’occupaient d’elle d’augmenter la dose de tranquillisants pour l’empêcher de parler.

Lors de son entretien avec le Times, Valérie Trierweiler évoque également son histoire d’amour avec François Hollande. "Tout ce que je dis, c’est qu’il m’a séduite et apparemment je n’étais pas la seule," déclare ainsi l’ancienne compagne du président de la République avant de poser, à son tour, des questions. "Etes-vous marié ? Est-ce que vous imaginez votre femme dans les bras d’un autre homme ? Essayez d’imaginer," balance Valérie Trierweiler. L’ex première dame évoque ensuite "le choc" lorsqu’elle a découvert la liaison de son compagnon avec Julie Gayet. "A ce moment-là, je suis toujours amoureuse de lui et je n’imagine pas le quitter. J’ai essayé de comprendre et après il y a eu le choc. La colère est venue plus tard," confie Valérie Trierweiler qui avoue avoir écrit très vite les premières pages de Merci pour ce moment. "J’ai laissé mes larmes guider l’écriture, j’ai commencé par les scènes qui ont été les plus douloureuses pour moi," explique-t-elle.


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